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L'ANSES publie 2 rapports concernant l'acroléine (CAS n°107-02-8, groupe 2A selon le CIRC) : les valeurs toxicologiques de référence (VTR) par voie respiratoire et les valeurs guides de qualité d'air intérieur (VGAI).

L'ANSES publie 2 rapports concernant l'acroléine (CAS n°107-02-8, groupe 2A selon le CIRC) : les valeurs toxicologiques de référence (VTR) par voie respiratoire et les valeurs guides de qualité d'air intérieur (VGAI).

L'ANSES met en ligne trois rapports sur les mélanges de substances : le premier faisant le point sur les approches existantes pour la prise en compte des mélanges, le deuxième concernant l'élaboration de Valeurs Guides de qualité d'Air Intérieur au travers d'une étude de cas (mélange d’aldéhydes élargi à d’autres substances irritantes) et le dernier proposant une méthode d’élaboration de Valeurs Toxiques de Référence (VTR) avec application de la méthode au mélange benzène, toluène, éthylbenzène et xylènes.

L'ANSES met en ligne trois rapports sur les mélanges de substances : le premier faisant le point sur les approches existantes pour la prise en compte des mélanges, le deuxième concernant l'élaboration de Valeurs Guides de qualité d'Air Intérieur au travers d'une étude de cas (mélange d’aldéhydes élargi à d’autres substances irritantes) et le dernier proposant une méthode d’élaboration de Valeurs Toxiques de Référence (VTR) avec application de la méthode au mélange benzène, toluène, éthylbenzène et xylènes.

L'ANSES met en ligne trois rapports sur les mélanges de substances : le premier faisant le point sur les approches existantes pour la prise en compte des mélanges, le deuxième concernant l'élaboration de Valeurs Guides de qualité d'Air Intérieur au travers d'une étude de cas (mélange d’aldéhydes élargi à d’autres substances irritantes) et le dernier proposant une méthode d’élaboration de Valeurs Toxiques de Référence (VTR) avec application de la méthode au mélange benzène, toluène, éthylbenzène et xylènes.

Publié par l'ANSES, cet article présente les conclusions de son étude sur l'association entre l'exposition à l'amiante et le risque de cancer de l'ovaire ou du larynx. Le rapport est téléchargeable à l'adresse suivante : https://www.anses.fr/fr/system/files/AIR2018SA0266Ra.pdf.

L'ANSES met en avant un article publié sur le site d'information indépendant The Conversation. Il évoque les préoccupations grandissantes de la population relatives à l’impact des produits chimiques sur l’environnement, et sur la santé. De par leur utilisation dans presque tous les secteurs économiques, ils font maintenant l’objet d’une évaluation des risques potentiels pour le consommateur avant une mise sur le marché. (Lien vers l'article original : https://theconversation.com/sante-la-biosurveillance-des-principaux-produits-chimiques-se-met-en-place-en-europe-189746)

L'ASN (Agence de Sûreté Nucléaire) publie un rapport sur l’état de la sûreté nucléaire et de la radioprotection en France en 2021. Constitué de 14 parties, ce rapport présente dans un premier temps les chiffres clés, les appréciations de l'ASN par exploitant et par domaine d'activité, les faits marquants 2021, les actualités réglementaires ainsi qu'un panorama régional de la sûreté nucléaire et de la radioprotection. Il aborde ensuite la radioprotection dans différents secteurs d'activité : le médical, la recherche, le transport de substances radioactives et le nucléaire.

Publié par l'ANSES dans le cadre de l’évaluation des substances sous REACH (saisine n° 2013-REACH-0248), ce rapport d'expertise établit le profil toxicologique et écotoxicologique de l’anhydride chlorendique (n° CAS 115-27-5) puis présente des recommandations.

L'Anses et l'Inserm réalisent une interview dans le cadre d'une rencontre scientifique pour faire le point sur les avancées de la science concernant l'exposome. Trois scientifiques répondent aux questions suivantes : Qu’apporte le concept d’exposome dans la compréhension des maladies chroniques ? Quelles recherches sur l’exposome sont financées par l’Anses ? Quels sont les objectifs du groupe de travail Exposome ?

L'Anses publie les résultats d'une étude, menée conjointement avec Santé Publique France et la Dares, révélant que la quasi-totalité (97 %) des salariés des secteurs publics et privés sont polyexposés. Une analyse statistique a permis de regrouper les salariés selon 12 profils décrivant les situations d’expositions cumulées les plus courantes.

L'ANSES met en ligne le rapport d'activité 2020 du Réseau National de Vigilance et de Prévention des Pathologies Professionnelles (RNV3P), un réseau de professionnels de la santé au travail qui regroupe les 28 centres de consultation de pathologie professionnelle (CCPP) de France (métropolitaine et outre-mer).

L'ANSES propose d’ajouter 18 principes actifs cytostatiques à l’arrêté fixant la liste des procédés cancérogènes en droit du travail. L’Agence émet également des recommandations afin de protéger et sensibiliser les employeurs et les professionnels potentiellement exposés.

L'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) publie un rapport d'expertise concernant l'association entre une exposition professionnelle aux pesticides (produits phytopharmaceutiques, biocides dont le chlordécone, antiparasitaires externes à usages vétérinaire et humain) et le risque de cancer de la prostate. Au regard des éléments scientifiques développés dans cette expertise, l'ANSES plaide pour l'inscription de la maladie au tableau des maladies professionnelles des régimes agricole et général.

L'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) publie un article sur la reconnaissance du caractère cancérogène des travaux exposant aux fumées de soudage. L'Agence recommande d’inscrire, à l'arrêté fixant la liste des substances, mélanges ou procédés cancérogènes au sens du code du travail, l’ensemble des travaux exposant aux fumées de soudage ou aux fumées métalliques de procédés connexes. Son rapport est disponible à l'adresse suivante : https://www.anses.fr/fr/system/files/VSR2017SA0237Ra-2.pdf.

L'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) publie ses recommandations concernant les valeurs limites d’exposition professionnelle (VLEP) du dioxyde de titane sous forme nanoparticulaire (TiO2-NP). Cette molécule possède des propriétés d’absorption des rayonnements ultraviolets et des propriétés photocatalytiques qui sont utilisées pour la décomposition chimique de certains polluants. Elle est également utilisée dans les vitrages dits « autonettoyants ». Elle peut, chez les personnes exposées par voie respiratoire, engendrer une inflammation pulmonaire susceptible d’entraîner dans certains cas la cancérogenèse. Les VLEP recommandées ici sont destinées à prévenir l'inflammation pulmonaire.