Cancers Pro Actu

L’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) publie son bilan annuel de la surveillance des travailleurs exposés aux rayonnements ionisants. Ce rapport permet de mettre en évidence les tendances d’évolution des expositions professionnelles aux rayonnements ionisants par rapport aux années précédentes.

L’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) présente le bilan 2022 de la surveillance des expositions professionnelles aux rayonnements ionisants en France. Le rapport comporte les quatre parties suivantes : "Bilan des expositions externes", "Bilan des expositions internes", "Dépassements des limites annuelles réglementaires de dose" et "Suivi des événements et incidents de radioprotection".

L'IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) publie dans la revue "Radioprotection" la traduction française de l'article de la Commission internationale de protection radiologique (CIPR) sur les évolutions à envisager en radioprotection.

L'IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) et ses partenaires mettent en ligne la traduction française de la publication 146 de la Commission Internationale de Protection Radiologique (CIPR) concernant la protection radiologique des personnes et de l’environnement en cas d’accident nucléaire majeur. Les recommandations de cette publication apportent un éclairage sur la transition entre les trois phases d’un accident nucléaire majeur : d’urgence, intermédiaire et de long terme. Elles s’appuient, à la lumière des leçons tirées de l’accident de Tchernobyl, sur près d’une décennie de travaux de la Commission combinée au recueil d’informations provenant de l’expérience d’experts et de citoyens directement impactés par l’accident de Fukushima.

L'IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) publie une note d'information synthétisant les résultats des programmes de recherche et des études épidémiologiques sur les conséquences sanitaires des accidents de la centrale nucléaire de Tchernobyl en 1986 et de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi en 2011 chez les intervenants ainsi que les personnes exposées aux rayonnements ionisants pendant l’enfance et l’adolescence.

Dans le cadre de ses recherches sur les effets sanitaires potentiels des expositions professionnelles chroniques à de faibles doses de rayonnements ionisants, l'IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) publie un rapport présentant les principales données et observations issues des études épidémiologiques réalisées depuis les années 1950 sur les travailleurs de l’industrie nucléaire française.

L’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) publie le bilan 2015-2016 sur la sûreté des installations nucléaires de base (INB) françaises autres que les centrales nucléaires en fonctionnement. Consitué de quatre parties, ce rapport présente dans un premier temps le contexte réglementaire, les 85 installations nucléaires de base françaises autres que les centrales nucléaires ainsi que les éléments relatifs à la sûreté des installations. Il analyse ensuite les événements survenus en 2015 et en 2016, présente cinq événements marquants, fait le point sur les évaluations complémentaires de sûreté et effectue un bilan des acquis et des développements récents pour les INB (autres que les réacteurs à eau pressurisée) dans les domaines du confinement des substances radioactives, de la criticité, de l’incendie et de l’explosion, des facteurs humains et organisationnels.

L’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) publie son rapport sur la sûreté et la radioprotection des 58 réacteurs en fonctionnement en 2016. Ce rapport présente le parc des réacteurs électronucléaires français en fonctionnement, les résultats de l'évaluation globale de la sûreté et de la radioprotection de ces réacteurs, les événements, incidents et anomalies rencontrés ainsi que les évolutions significatives apportées par EDF.

L'IRSN met en ligne une nouvelle version de la base de données MIMAUSA concernant 205 anciens sites miniers d'uranium exploités en France métropolitaine entre 1950 et 2001. Le programme MIMAUSA a pour objectif d’aboutir à une compilation et une synthèse des données disponibles afin de permettre à l’IRSN, aux pouvoirs publics nationaux et locaux, mais aussi au public de disposer d’une source d’information sur l'historique, la situation administrative, le contexte géographique et les dispositifs de surveillance radiologique de ces anciens sites miniers d’uranium.

Dans le cadre de la transposition de la nouvelle directive européenne relative aux normes de base en radioprotection, l'IRSN formule dix recommandations concernant l'évaluation du risque radiologique.

Trente ans après l'accident de Tchernobyl, l'IRSN publie un dossier web concernant les impacts de l'accident sur la santé et l'environnement et faisant le point sur les travaux préparatoires au démantèlement de la centrale nucléaire. Les effets sur la santé des travailleurs intervenant sur le site sont abordés.

L'Institut de radioprotection et de sureté nucléaire (IRSN) publie son bilan de l'état radiologique de l'environnement français de 2011 à 2014. Il présente des données de mesures environnementales ainsi que des évaluations des expositions de la population française aux rayonnements ionisants. Ces données en population générale sont parfois comparées à celles des expositions professionnelles.

De nouveaux résultats de l'étude INWORKS (International Nuclear Workers Study) ont été publiés sur le site internet de la revue "British Medical Journal" (lien d'accès : http://www.bmj.com/content/351/bmj.h5359). Les résultats concernent ici l'association entre une exposition professionnelle à des rayonnements ionisants et le risque de décès par cancer autre que leucémie. Cette étude, coordonnée par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), inclut au total 308 297 travailleurs français, britanniques ou américains employés dans l'industrie nucléaire à partir du milieu des années 1940.

Publié par l'IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire), ce guide propose une approche méthodologique pour réaliser les études dosimétriques nécessaires à l'évaluation des risques d'exposition aux rayonnements ionisants, à l'optimisation de la radioprotection et à la classification des travailleurs. Le guide est constitué de trois parties : "Concepts et outils", "Approche générale d'une étude de poste" et "Fiches spécifiques". Ces fiches donnent des recommandations spécifiques pour la réalisation d’une étude de poste de travail dans les domaines suivants : radiologie médicale conventionnelle, radiologie médicale interventionnelle, médecine nucléaire, scanographie et curiethérapie.

L'étude internationale des travailleurs du nucléaire (INWORKS, pour International Nuclear Workers Study), coordonnée par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), montre que l'exposition prolongée à de faibles doses de rayonnements ionisants peut causer une leucémie. Les premiers résultats de l'étude ont été publiés dans la revue "The lancet Haematology" (http://www.thelancet.com/pdfs/journals/lanhae/PIIS2352-3026%2815%2900094-0.pdf).

Mise en ligne par l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN), la base de données ECRIN donne accès aux valeurs de coefficients de dose validées et référencées de 825 radionucléides pour le calcul de doses de rayonnements reçus par l'homme.